Présentation : Blood-Nadine

Arrivant en marchant assez joyeusement dans la maison, elle se rappela qu'elle devait rédiger sa présentation et elle se précipita pour lire celles de ses camarades pour avoir un exemple concret.Elle en lut plusieurs assez différentes et dirigea son regard sur la fiche d'explication.
Après plusieurs relecture, elle prit son carnet et son couteau fétiche puis elle se coupa la main d'un geste expert. Le sang coula sans gicler et laissant juste ce qu'il fallait de sang pour y tremper sa plume. Elle s'attabla et écrivit donc.

Je ne sais que dire en premier pour me présenter... Mais je vais tout de meme laisser dans les premières pages de ce carnet la cause de ma venue dans ce clan de mercenaire... La voici :

La porte claque, une voie enfantine se fait entendre dans la forêt astrubienne

-Eh
!!! Les mecs je sais à quoi on va jouer aujourd'hui !!! J'ai enfin
trouvé, je vous jure j'ai enfin trouvé une idée de jeu !!!

Après avoir couru comme des petits fous et bousculé beaucoup de personne sans aucun respect une bande de gamin au nombre de 8 (ou 9 mais le dernier on ne sait jamais ou il est) se précipita dans un champ astrubéen pour faire fuir quelque rose démoniaque et arracher quelque plume à des tofus innocents.

-Bon ça y est, on est dans ton champs
pourri, tu nous la balance ton idée Blood !! J'te préviens elle a
intérêt a être bonne parce que j'vais te fracasser l'crâne sinon !
-Ouais t'inquiète, elle est méga géniale ! Alors regarde tu vois le petit tofu innocent qui court comme une tapette là-bas ?
La frêle jeune fille d'un coup d'attirance attrape le pauvre tofu qui battait encore des ailes quelques secondes plus tôt.
-Qu'est-ce tu veux que j'en fasse de ton pauv' tofu microbe ? Du rôti ?
-Ah mais nan ! Regarde plutôt ... j'ai appris un sort trop top hier à l'école !
-Me parle pas de ce truc ça me dégoûte !!
-J'sais mais moi au moins j'passe des cercles de puissance légalement !
-Bon allez balance tu m'énerve !!
-Oui oui c'est bon j'y vais.

La jeune fille attrape le dernier tofu pouvant courir et forme une boule d'eau dans sa main libre puis explique a ses amis:

- Tu vois cette boule d'eau je vais former la même mais a l'intérieur du corps du petit tofu et .... regarde !

Elle éclate la première boule et en reforme une dans le corps sans vie maintenant du tofu. Le tofu tombe de sa main et à la place es amis de la jeune sacrieur découvre une boule bleue avec du sang tourbillonnant en son centre.Les jeunes amis sacrieur de la petite sont étonnés de sa prestation.Seul le chef reste impassible.

-Bon dit-nous où tu veux en venir avec ta boule !
-J'y viens, j'y viens . Tiens d'ailleurs essaye donc de l'attraper sans la faire éclater.

Elle lance un regard de défie à son compagnon, lui lance sa boule. Le sacrieur ne sachant comment la rattraper se la prend en pleine tête et se retrouve trempé de sange et d'eau.L'assemblée rit aux éclats la jeune Blood est très fière d'elle.

-Ben alors tu sais pas rattraper une balle ou quoi ?
-Très drôle microbe attend un peu que je t'attrape !!!
-Calme
toi, tu peux très bien la rattraper en te concentrant dessus et en
pensant très fort "je vais l'attraper", si c'est ça la boule se dirige
droit dans le creux de ta main, sans une éclaboussure. J'en viens donc à
mon jeu. Vous connaissez tous le boufbawl non ?

Le groupe lâcha un "oui" de lassitude. La petite essaya de paraitre plus convaincante.

-Grâce à cette boule on pourrait y jouer sans avoir à arracher la tête d'un bouftou mais juste en lui prenant sa vie. On essaie ?

Cette
fois-ci le "oui" fut plus convainquant la jeune sacrieur était très
fière d'elle. Ils commencèrent le match (4vs4) le petit dernier resta
sur le bord, sinon les équipes était inégales. Blood eu pitié de lui ce
qui lui couta cher. Elle lui laissa sa place et regarda le match se
déroulé.

Plusieurs fois elle demanda à entrer, mais maintenant elle n'était que la bonne à faire les balles. Les garçons en demandait des toujours plus grosse mais pourtant jamais plus grosse que la vie d'un chef de guerre bouftou. La jeune fille devint une machine a tuer pour ses "amis" et surtout une créatrice de ballon. Tout les jours elle venait tuer des pious, tofus , bouftons et bouftous.

Elle ne vint plus au bout d'un moment et elle resta dans sa chambre créer des boules et les envoyer s'éclater sur le mur. Son rire devenait de plus en plus sinistre voir sadique, elle devenait à moitié folle, hystérique. Un jour, où elle remarqua que sa chambre était immaculée de sang elle décida de la lavée pour plus s'amuser. Le sol était jonchée de cadavre sans vie et le lit se confondait avec le mur. Elle était habituée à faire fuir les gens quand elle marchait dans la rue. Elle erra dans les ruelles d'astrub pour trouver quelque chose pouvant lui servir d'éponge ou une pelle pour enlever tout ses cadavres.

Elle arriva devant un repère mercenaire. Ils étaient en pleine conversation autour d'une bonne bière ils avaient l'air heureux et elle entendit qu'ils étaient compagnons et qu'ils partaient en contrat pour aider de faibles personnes pour leur combats.Elle suivit la conversation sans en perdre une miette. Elle eu vent aussi qu'ils recrutaient encore de bons combattants. L'envie vint et elle écrivit sa lettre. Après l'avoir déposer sur un bureau en toute discrétion elle pris une vieille éponge à la volée et s'enfuit dans sa chambre.


Elle s’arrêta et réfléchit. Quelques secondes passèrent et elle reprit son écrit.

Voilà ma dernière grosse aventure avant d'arrivé en ce lieu... Je complèterait plus tard si l'envie me prend...

Blood attendit que son sang sur son carnet sèche et elle le posa à coté des autres présentation. Fière de ce qu'elle avait fait, elle repartit tout aussi joyeuse qu'elle était arrivée.

[hrp/] Oui oui, je sais, j'ai repris ma candidature mais je ne suis pas la seule ! J'essaierais de trouver une suite [/hrp]

Carnet de Blood~°~Histoires plus ou moins réelles




Heureusement que l'histoire d'avant ne fut qu'inventée ... Imagine un peu la pagaille que ça aurait été ! Je te propose maintenant, cher carnet, ma vrai histoire celle que je n'invente pas. Mon histoire commence donc ici.



Histoire de ma vie jusqu'ici




Début: La naissance.




Ce fut un beau jour de maisial... Le 13 précisèment. Une jeune femme, éniripsa de confession, son mari, un bon Iop et leur première fille ayant tout pris de son père, je parle de la force bien sûr ! Sinon elle avait l'esprit aussi préventif que sa mère. Donc je disais, en ce jour du 13 maisial, je naquit disons d'une manière bien particulière. J'étais doter d'une certaine force à la naissance qui allait s'évanouir peut après. Cette force sortie d'on ne sait où, me donna l'envie de sortir des entrailles de ma mère. Elle ne survécu pas à la souffrance que je lui avais infliger -souffrance qui tu l'imagines était comme une pierre de la taille d'un craqueleur qui aurais été lâchée ou lancée à pleine vitesse sur un de tes membres. Après ma naissance, mon père ainsi que ma sœur n'eurent plus que dans leurs yeux de la haine, de la méfiance et surtout de l'indifférence. Je n'ai pas de suite compris pourquoi évidemment j'étais trop jeune pour comprendre ce regard. Je te montre maintenant, mon cher carnet, confident de tous mes secrets et de toutes ma vie, ce qui fut ma jeunesse. Enfin jusque mes 14 ans mon âge actuel.


-°~°-°~°-


Jeunesse...


A partir de mes 4 ans, si je me souviens bien, je voulu partir de cette endroit stressant dans lequel j'étais mal à l'aise, malgré mon jeune âge je parvenais à comprendre beaucoup de chose. Je compris que mon entourage me détestais et se fut une raison de plus pour m'enfuir pendant plusieurs heures de chez moi pour me balader sur incarnam, une île qui était une sorte d'île de jeux pour moi. Ma journée sur cette île se déroulait ainsi:
Je prenais la montgolfière dès le matin, puis je me rendais directement à la taverne (non je n'ai pas de sang Pandawa je te jure), après avoir bu deux trois grenadines (sans alcools évidemment) je me dirigeais vers le lac pour m'y baigner. Cette baignade était le meilleur moyen pour moi de me détendre de ce qu'il se passait chez moi. Ensuite, je me baladais en forêt, dans les champs saluer les quelques nouveaux paysans qui arrivaient chaque jour. Dès que je trouvais dans ces régions de l'île, la moindre bestiole synonyme de nourriture, je m'empressais de la vaincre et de retourner voir mon ami de la taverne pour qu'il me prépare un feu - je partageais par la suite une partie de mon déjeuner. Je gagnais grâce à cela un peu d'expérience en combat - ce qui me rendit plus forte, prête à descendre tranquillement sur Astrub - je passais aussi quelques cercle de puissance (appeler par certains "niveau" ou "level"). Après ce programme quelque peu charger j'oubliais l'espèce de quelques heures, les monstres qui me servaient de "famille". En revenant sur Astrub pour aller me coucher, je me faisais inlassablement disputer pour ne pas dire autre chose. Je voulais m'enfuir chaque jour plus longtemps.
J'ai continué de faire la même chose jusque mes 10 ans; à cette âge j'avais atteint mon cercle de puissance 35 si je me souviens bien. Un beau jour - beau c'est une façon de dire... Le mot serait plus juste si je disais un horrible jour - j'étais tranquillement en train de compté les quelques kamas que j'avais ramassé à la taverne de Incarnam, quand mon père débarqua dans ma chambre, rouge de colère - à moins que se ne soit le coup de soleil qu'il avait pris en dormant dehors - il avait sur son épaule un ballotin fait d'un tissu bleu comme le ciel et d'un baton de bambou qu'il avait fraichement coupé. Ce iop me pris par le linge blanc découpé par mes soins et qui me servait de chemise, j'avais alors juste eu le temps de remettre dans leur sacoche les quelques malheureux kamas qui jonchait le sol quelques minutes plus tôt et de m’agripper à celle-ci pour qu'elle reste dans ma main.
La force avec laquelle il me maintenu en l'air jusqu'à la porte me comprimé les côtes, une céda en chemin ce qui me fit affreusement mal. J'avais réussi à contenir cette douleur pour ne pas hurler, mais je ne pus garder mon cri quand il me lâcha lourdement devant la porte de la maison. Je regardais, recroquevillée sur moi-même l'intérieur de la maison et je vis ma soeur dans le coin de la salle à manger en train de regarder ces mains... En y repensant il me semble qu'une larme coulait sur sa joue, mais je ne pus en voir plus vu que mon démon de père ferma la porte au moment où une goutte tomba sur le pas de la porte. Je ne su jamais si s'était une larme ou une goutte de sueur. Après cette sorte d'affront, je tentai de me relever malgré ma côte cassée. J'ai voulu faire ma fière devant toutes ces personnes qui me regardaient, me fixaient avec des regards qui m'interrogeaient... Ce que je pouvais les haïr tous à ce moment là !!! Et, contre toutes attentes, ce fut cette haine qui me fit totalement oublier la douleur et je me levai tranquillement comme si je n'avais rien eu. Je pris alors mon baluchon et déguerpit en quatrième vitesse vers les champs d'astrub en faisant en sorte de n'être vue par personne. Ce qui ne fut guère facile vu la couleur de mes habits et de mes cheveux. J'étais arrivée à Tainéla quand je me suis arrêtée pour la première fois. Je commençais à sentir la douleur me lancer dans la cage thoracique et j'ai alors décidé de demander quelque soin à des eniripsas qui passaient par là. Un jeune garçon, haut comme trois pious, me procura ces soins et je repris donc ma route vers les canias après avoir vaincu le bouftou royal à l'aide de ce garçon qui m'avait soigné. Je me concentrais en chemin sur ma marche et dès qu'un monstre quel qu'il soit me dérangeait, j'en profitais pour passer mes nerfs qui devenait de plus en plus vifs.

Carnet de Blood~°~Histoires plus ou moins réelles



Un beau jour, j'arrivai à Bonta. Quelle ne fut pas ma surprise de voir une ville si grande, si lumineuse, si .... Tout ! Il y avait un monde fou, j'essayais de me frayer
un chemin parmi cette foule. Depuis quand mes yeux n'avaient-ils pas vu une si grande lumière ? Depuis quand n'avais-je pas entendu autant de bruit ?
Cette dernière question je pouvais clairement y répondre. Depuis que j'avais quitter ma "maison". J'étais si heureuse qu'en repensant à ma "famille" qui vivait là-bas mon visage s'assombrit à nouveau. Après avoir marcher une bonne heure, je me retrouvai devant un marchand-tailleur. J'avais très peu de kamas mais je me décidai à essayer quelques chapeaux et capes. Le shopping -comme disent certains- n'était pas ma tasse de thé. Je continuai alors vers d'autre marchand et je me suis arrêtée, fascinée, devant un bâtiment fort décoré de plante etc... Je suis entrée évidemment pour voir ce qu'il y avait à l'intérieur et je découvrit quelques personnes qui fabriquait je ne savais quel breuvage. Je les observais discrètement et je trouvais cela de plus en plus attrayant. La personne tenant cet endroit me surpris et me proposa de m'initier à l'art de l'alchimie. Un père iop ça n'aide pas beaucoup, de ce fait je ne compris pas ce que voulais dire alchimie mais je compris surtout que je voulais essayer. Cette homme me dit d'aller chercher quelques lins et chanvres pour me montrer comment faire une potion. Je lui demandai alors, où je pourrais poser mes affaires et trouver un vrai sac. Il m'offrit comme simple réponse un sac rouge plutôt large. Un sourire émerveillé le remercia. J’accourus alors vers les champs que j'avais croisé au sud de Bonta. Je vis bon nombre de paysan, aventurier et collectionneur de champignon. Après avoir demander à deux ou trois personnes j’aperçus enfin un champ de lin. Un homme assez petit vint à ma rencontre:

"Oh, toi, je ne doute pas que tu viens pour mon ami l'alchimiste. Il envoi je ne sais combien de personne fascinées par son art ici. Tiens ! Tu m'as l'air un peu perdue toi par contre. Prend donc ces gants et regarde moi deux minutes.

-Euh... ou...oui, je...euh...

-Pas le peine d'en dire plus regarde juste."

Je fis part une nouvelle fois de ma timidité naturelle. J'avais une affreuse peur d'être rejeter quelques minutes à peine seulement que j'avais sympathisé avec quelqu'un. Cette peur elle m'accompagnait partout mai je ne l'oubliais jamais. Je regardais donc attentivement le geste qu'il répétait je tentai ma chance sur un brin de lin pas très loin. Tout en regardant j'essayai de refaire le même geste. Le premier essai ne fut pas très concluant mais je me suis mis à répéter celui-ci une fois, puis deux, puis trois et à chaque nouvel essai je m'améliorais. Je ne m'arrêtais plus, il fallut que l'homme du champ me dise qu'il partait que je stop ma cueillette. Il était tard et je n'avais nul part où dormir. Je me dirigeais vers le zaap et après avoir choisis ma destination, je le traversait. Une fois à Tainéla, je pris quelque peau de bouftou et de la laine et je me confectionnai un lit. Je dormis comme je ne l'avais jamais fait.
Combien de temps ai-je dormis ? Je me souviens juste de ce rêve quelque peu ... étrange ... Ma ... sœur !?? mais que faisait elle dans ce rêve !? Elle me manque ... Je ne l'ai jamais au grand jamais considérée comme un monstre égal à celui qu'etait mon père et jai plusieurs fois réussi à savoir ce qu'elle pensait sans vraiment en être consciente je crois. Ah ! voilà mon rêve me revient enfin ! Elle était la devant mes yeux comme si j'étais spectatrice de cette scène, une chose bizarre s'avançait vers elle est elle ne fit rien, comme si elle était tétanisée ! Je voulais venir mais cette chose je voulais la fuir et c'est ce que je fis en versant quelques larmes au passage pour ma grande soeur qui s'était fait engloutir par ce monstre ! D'ailleurs quand j'y repense j'ai eu le temps de m'apercevoir que je la voyais à l'intérieur et qu'elle était si triste, mais l'instant d'après je me réveillais ...
Quand j'y ai repensé le soir même, j'ai compris ce qu'il signifiait ce rêve si ....
Ma sœur à été engloutie par les ordres et les règles qu'imposait mon père avant que je ne m'enfuit et je ne doute pas sur le fait qu'il lui en ai donné d'autres encore plus strictes. Ce rêve j'étais persuadée qu'il me disait de retourner voir ma sœur en cachette la nuit, je ne savais pas pourquoi mais je le sentais. Peut-être une grâce de ma déesse ou tout du moins celle que je vénère le plus ! Ô grande déesse sacrieur, vais-je devoir sacrifié mon corps pour cette fille ? Vais-je recevoir quelconque coups de la part de ce tyran ?
Pour seule réponse à mes questions, j'entendis le vent souffler dans les arbres environnant. Le lendemain dans la journée alors que je me promenais non loin d'Astrub, j'entendis un jeune aventurier qui recrutais quelques valeureuse personne dans sa guilde, n'ayant pas vu de personne depuis que j'étais allée à Bonta je lui demandais donc si il fallait un cercle particulier ou si toute sorte de personnes étaient acceptée. Il me répondit que dès le cercle 50 nous pouvions entré après une journée passée avec eux j'étais un membre à part entière !
Je me souvins une nuit en regardant la lune rousse de ma grande sœur que j'avais laissé de côté. De ce fait je me mis en route bien que non loin de l'habitation. Étrangement, elle m'attendait un sac à la main et recouverte d'un manteau qui me parut à première vu noir comme la nuit, je m’aperçus le matin seulement qu'il était bleu. Oui bon ça va je voulais faire genre c'est un roman super intéressant mais .... Ouais je sais c'est pourri mais bon.... Bref la suite !
Je partis donc avec elle et mon petit cercle de puissance 100 passé, toute fière de devoir aidé ma grande soeur. Nous avons fait toute les deux le tour d'amekna et notre destination 'finale' fut Frigost ! Une si belle région mais tellement froide !!! Je n'étais partis qu'avec mon haut habituel rien de très chaud et jpeux te dire que ça caille dur ! Même ma dragodinde a du revetir son poil d'hiver version ultra (on aurais dit qu'elle était obèse je te raconte pas). Après de nombreux jours à chasser Rats bougris, chachachovage, gélikans et crabes accompagné de ma fidèle soeur et de quelques personnes voulant gagné de l'expérience, je me tente à des boufmouths (non sans m'être renseigné avant) avec grand succès cela va sans dire. Mon cercle 110 atteint je reviens passé quelques jours à Bonta, où ma grande soeur fourbu de nos petites aventures me laisse à une vie plus tranquille dans le centre d'astrub. De nouveau seule j'arpente les rues pavées de Bonta regardant après quelques équipements qui pourrait m'être utiles quand soudain j'entend une voix anonçant le recrutement dans une guilde, j'écoute plus attentivement captivée par cette nouvelle possibilité d'avoir des compagnons à mes côtés. Cette jeune fille criant son texte tout fait à haute voix disait vouloir recruter des personnes motivées et matures. Du haut de mes 14 j'avais peur de ne pas passé mais j'y suis allé, après avoir poser mes quelques questions à l'écatte nommée Miyaouh se trouvant être le bras droit de cette guilde, posté ma candidature sur laquelle j'avais durement travailler.

Je pense que ce sera suffisant ... Non tu n'en sauras pas plus !! T'es malade j'vais pas tout dire non plus non mais Ho !

Tu sais mon petit carnet, il y a des jours où l'on aimerait être quelqu'un d'autre, des jours où on a plus envie d'être là, des jours aussi où nous, amaknéen et habitants du mondes des 12, nous aimerions changer totalement. Ces jours-là, il m'arrive aussi de les connaître et c'est pendant ces jours que mon imagination déborde.

Imagine un peu si j'avais été quelqu'un d'un autre monde, un monde où nos monstres à nous n'existe pas, où l'on utilise des sorts totalement différents aux notre, où l'on appelle ces sorts non pas : Absorption ou encore dissolution mais... Je ne sais pas moi... euh... ninejoutsou ou taillejoustsou... Mouais pas terrible comme nom je sais mais j'ai pas plus d'idée. Quand moi je m'imagine ça, je me vois avec des armes qui ressemble drôlement aux dagues de notre monde mais avec une sorte d'anneau au bout. Et ces armes sont toutes pareilles, avec une sorte de pansement autour du manche. Il y a parfois aussi des choses en forme d'étoile mais avec un trou au milieu, rond, juste assez grand pour passer un doigt. On les lance soit à plat, soit verticalement. Dans ce monde, les personnes sont fortes mais nous ne sommes pas moins forts qu'eux. Ils ne sont pas si différents les uns des autres mais ils utilise plus d'éléments que nous. C'est un monde assez étrange que j'ai imaginé je sais. Je ne l'aime pas moins non plus. Je ne sais pas quel monde je pourrais aimer, à part un monde où le sang coule dans des fontaines, où la mer emporte avec elle des traînées de sang, où le soleil s'arrête au moment de se coucher. Oui j'aimerais tant vivre dans se monde, certain l'appelle l'enfer mais pour moi ce serais le paradis. Tu me trouve horrible peut-être mais ces temps ci je me sens seule et imaginer un monde que je ne serais pas la seule à aimer, où les gens partagerais leur sang autour d'un jeu, où la tuerie est un bel acte... Certains me tueraient pour ce que j'écris, certains me vénéreraient presque. J'aimerais que le monde des douzes deviennent ainsi. Que la lumière blanche disparaissant, que l'aurore pourpre reste à jamais. Brakmar doit grandir, donner plus pour envahir notre monde, je vais bientot rejoindre les rangs d'oto Mustam. Les srams devraient pouvoir voler comme ils le veulent, les sacrieurs devraient pouvoir jouer avec leur vie et la vie des autres comme bon leur semble, les eniripsas devraient mourir, leurs soins sont futiles, dans notre monde seuls les plus fort doivent survivre. Tu ne penses pas ?? Que dis-tu ? Je suis folle ? moi ? N'y pense pas ! je ne vois même pas pourquoi je continue à te parler après ce que tu viens de me dire mon petit carnet, ma vie ne dépend de personne, ma solitude est ma force, je ne devrais plus te parler d'ailleurs ... Je m'en vais...



Ce fut les derniers mots que la jeune fille laissa dans son journal. Le reste n'est fait que de dessin ou de tache de sang. On ne sait plus où on pourrait la voir. Elle vagabonde, perdue, solitaire et laisse aller sa frustration, son hystérie et son reste de raison.
Personne n'avait remarquer que son carnet était resté là sur son bureau, dans sa petite, toute petite maison, il était là, seul, dans le noir, au milieu des toiles d'araignée qui était là depuis que la sanguinaire jeune fille avait trouvé l'endroit. Revenons en à cette jeune fille... Elle allait ça et là, passant le plus claire de son temps dans la contrée de brakmar. La seule contrée où elle pouvait voir du sang en grande quantitée. C'était le départ vers sa descente aux enfers....